APHRODISIAQUE AFRIQUE 2i

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DYSFONCTIONNEMENT ERECTILE

Dysfonctionnement érectile chez l'homme : Le stress, un facteur de taille !


Il peut arriver à n'importe quel homme de souffrir un moment ou un autre de sa vie sexuelle, de dysfonctionnement érectile. Cependant, vous devriez d'abord prendre conscience que vous n'êtes pas le seul homme à qui cela arrive. Si les hommes étaient honnêtes, ils voueraient tous avoir connu, un jour ou l'autre, un problème de dysfonctionnement érectile. C'est une expérience dévastatrice. L'homme est profondément touché dans sa masculinité

 

Quelles sont ses véritables causes ?


Jusqu'au début des années soixante-dix, on pensait que la plupart des problèmes d'érection signalaient l'existence d'un trouble psychique et qu'une partenaire affriolante suffirait à résoudre le problème. Aujourd'hui, la communauté médicale reconnaît que la moitié des hommes souffrant de faiblesse sexuelle ont des troubles physiques ou structuraux qui expliquent le phénomène, du moins en partie : artères obstruées, alcool ou autres drogues,
diabète, lésion de laine, manque de sommeil, tabagisme, chirurgie prostatique etc. ...


Notons cependant que l'anxiété tout comme le stress reste des causes majeures de dysfonctionnement sexuel.
Disons aussi que l'idée qu'une personne se fait de sa propre sexualité est grandement déterminée par sa culture, son milieu social et son expérience personnelle. Elle peut être intimement liée à ses propres notions ou à celles de la société concernant la façon appropriée, ou non, d'exprimer ses comportements sexuels. Ces sentiments provoquent parfois de l'anxiété en raison d'une association personnelle ou culturelle des expériences et du plaisir sexuel avec les comportements immoraux ou répréhensibles. L'anxiété est alors exprimée physiquement par l'organisme d'une façon qui prévient la fonction sexuelle normale. Les dysfonctions sexuelles peuvent avoir une cause physiologique d'origine organique (trouble physique), une cause psychologique d'origine mentale, ou encore, elles résultent de facteurs à la fois physiques et psychologiques.

Le problème se pose souvent lors des premières relations sexuelles, par manque d'expérience et de confiance en soi, tension incontrôlable due à l'émotion ou à la rareté des rapports... Plus tard, cela peut être le stress, la peur de l'échec, le comportement intimidant de la partenaire... L'éducation et les traumatismes psychologiques jouent aussi un rôle. Sans oublier la consommation de drogues, comme la cocaïne, qui peuvent précipiter l'éjaculation. Les causes physiques, elles, sont rares. Certains s'inquiètent à tort, parce qu'ils s'observent un peu trop. " Ne plus avoir d'érection le matin, par exemple, ne veut pas dire que l'on est devenu impuissant, explique la sexologue. Les organes semblent au repos, mais, dans le "feu de l'action", il est probable que tout va bien se passer. " Après quelques mois d'inactivité sexuelle, on ne se sent pas toujours à l'aise. Si l'appréhension est forte, pourquoi ne pas dire à la partenaire que c'est la première fois depuis bien longtemps ? Loin d'être déçue, elle sera peut-être flattée... et se montrera compréhensive.

 

Dans le couple, il ne faut pas laisser les liens se distendre trop longtemps. L'essentiel est de parler de ses peurs et de ses désirs avec sa compagne. Parfois, la création d'un climat érotique favorable peut réveiller l'amant qui sommeille en lui. Si les blocages ne permettent pas de s'engager sur cette voie, l'aide d'un psychologue ou d'un psychiatre peut se révéler précieuse. Car ils peuvent s'expliquer par un passé douloureux. S'il s'agit d'un homme traité pour dépression, le mieux est d'en parler au médecin : un simple changement d'antidépresseur suffit parfois à régler le problème
L'impuissance elle, est l'inaptitude à obtenir ou à maintenir une érection suffisante pour permettre des rapports sexuels satisfaisants suivis d'une éjaculation.


L'anxiété ou le stress : deux facteurs de dysfonctionnement du sexe !


D'abord une phase de choc intervient au moment où vous recevez le stimulus " stressant " : votre rythme cardiaque s'emballe, votre tonus musculaire et votre taux de sucre dans le sang s'effondrent. Votre organisme va à ce moment tout faire pour s'adapter. Pour cela, votre système nerveux envoie un message à l'hypothalamus qui, en agissant sur la glande médullosurrénale, libère de l'adrénaline. Celle-ci fournit à l'organisme l'énergie dont il a besoin en augmentant le rythme du coeur (donc son débit) pour mieux oxygéner les muscles et les tissus, et en facilitant la libération du sucre et des graisses par le foie. C'est un premier stade où la mémoire et la réflexion sont améliorées. Vos pupilles se dilatent, vous disposez d'une meilleure vision. Quelle que soit la nature du stimulus, la réponse biologique de votre organisme sera invariablement la même. Si le stimulus persiste, vous passez à une phase de résistance. Votre organisme est en position d'alarme et de mobilisation pour tenter de capitaliser d'autres ressources afin de trouver un nouvel équilibre. Il se met à secréter d'autres hormones : l'endorphine aux vertus apaisantes, le cortisol, la dopamine, la sérotonine et enfin des hormones sexuelles. A ce stade, le stress est considéré, d'un point de vue biologique, comme un agent stimulant bénéfique pour l'organisme, qui lui permet de réagir pour survivre à des situations pouvant le mettre en danger. Si le stress perdure et que votre organisme est incapable de faire face car les dépenses énergétiques nécessaires sont trop importantes, vous passez à une phase d'épuisement. Vos défenses immunitaires perdent du terrain, ce qui vous rend extrêmement sensible aux agressions extérieures. Vous êtes dans un état de tension excessive. Votre soupape de sécurité explose. Apparaissent alors la fatigue, la colère, voire même la dépression.
En outre, quand nous sommes anxieux, le système sympathique est dominant, l'organisme est en alerte, les hormones surrénales vous préparent à lutter ou à fuir : les nerfs tirent le sang du système digestif ou du pénis vers les muscles. Détendez-vous alors et laissez le système parasympathique prendre le dessus. Les signaux que transporte ce réseau provoquent le gonflement des artères et des sinus du pénis et un afflux de sang circule dans les tissus. Un peu d'anxiété suffit à déclencher le système sympathique. Pour certains hommes, la peur de l'échec est tellement grande qu'elle entraîne une sécrétion débridée de noradrénaline, une autre hormone surrénale. C'est tout le contraire de ce dont vous avez besoin pour avoir une érection.
Comment savoir si son trouble d'érection est physique ou psychologique ?

Pour un tel diagnostic, j'aime bien le test à l'aide de timbres-poste mentionné par ce spécialiste en médecine naturelle. Il se base sur la constatation selon laquelle, chez un homme normalement constitué, il se produit des érections nocturnes toujours pendant le sommeil. Pour faire ce test, il vous suffit d'attacher une bande de timbres-poste autour de votre pénis avant de vous coucher le soir. Si elle est encore intacte au matin, c'est que vous n'avez pas eu d'érection durant votre sommeil et qu'une anomalie physique est probablement en cause. En revanche, si elle est déchirée sous l'effet d'une érection nocturne, c'est le signe que votre pénis fonctionne bien et que le problème est probablement du à des causes psychologiques. Ce test n'est pas infaillible, mais il vous donnera déjà une première indication. La prochaine étape logique, bien sûr, est de parler de tout cela à votre médecin ou praticien.
 

 

Commentaires

  • Ralph Djimet
    • 1. Ralph Djimet Le 18/04/2016
    Je suis tchadien . J'ai un début de prostate et j'ai une faiblesse d'érection et d'éjaculation longue. Que faire?
    Je vous remercie de votre colaboration.
  • Cyrille
    • 2. Cyrille Le 20/05/2015
    Je souffre du diabète, je veux savoir si vous arrivez à le guérir ? c'est urgent pour moi
    merci
  • BSP
    • 3. BSP Le 14/06/2014
    je ne suis pas diabétique je suis en bonne santé mais jais des troubles d’Érection et d'éjaculation précoce jais 44 ans bientôt. faite moi des proposition des traitements
  • spilette jean marie
    • 4. spilette jean marie Le 29/06/2010
    je suit diabetique et prend du viagras j aimerai trouver des plantes tres forte pour l erection

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